Le retour sanglant du Mizukage

Avec un grognement de souffrance, Kyûji s'arrêta devant l'enceinte de Kiri no kuni. Il faisait jour, il n'y avait pas d'ombre... Il allait devoir passer en force. Sautant par-dessus le mur, il fonça sur l'hôpital ! Aussitôt, les gardes le virent et sonnèrent l'alarme, mais la survie du Mizukage comptait plus que tout pour lui. En pensant qu'il y a de cela quelques minutes, il n'avait pensé qu'à le tuer, il réprima un sourire.

Alors qu'il n'était qu'à 10 mètres de l'hôpital, on lui tira des flèches ! Essayant de les éviter, il continua sa lancée, mais gêné par sa charge, il reçu un trait dans le flanc. Hurlant de douleur, il s'effondra.
Un garde cria de joie, mais à sa grande surprise, Kyûji se releva et repris sa course en entrant dans le bâtiment. Il retira la flèche qui n'avait fait que griffer son flanc grâce à sa cap qui avait fait dévier le trait, et il bénit les dieux pour l'avoir protégé. S'immobilisant devant une infirmière, il la regarda dans les yeux, et posa le Mizukage sur la civière. Il s'écroula aussitôt, épuisé. Il cru entendre un cri, et tout devint noir...

[désolé, un peu court...]

J’avais perdu connaissance… Ou étais-je déjà mort ? A vrai dire, je n’aurais su le dire. Ma respiration était entrecoupée de gémissements de douleur. Ma poitrine était brûlante, chaque respiration me coûtait encore plus. Était-ce cela, la transition de la vie à la mort ? Une souffrance interminable… ! Tout mon corps me lançait, mes côtes brisées, mon épaule démise, mon bras droit fracturé, ma tête qui donnait des ordres contraires. Je mourais, c’était la seule explication, ainsi, je rejoindrais ma mère… Et ne pas revoir mon père si possible !

Depuis plusieurs minutes, j’étais balloté dans tous les sens, comme si quelqu’un me portait… Mais qui ? Peut-être étais-je déjà sur la barque qui me conduirait vers ma mère ?! Des cris ?! Non, je ne rêvais pas ! Alors, je n’étais pas encore passé de l’autre côté, ainsi la douleur était bien réelle. Je pus ouvrir les yeux et découvrir que celui qui m’avait transporté jusqu’à l’hôpital était l’Hyûga. Celui-ci tomba, sous la fatigue, au sol, tandis que selon tous les mouvements aux alentours, j’étais transporté dans les blocs opératoires du bâtiment. Très vite, ils retirèrent de mon dos une ou deux flèches que les gardes avaient figées en visant l’intrus. Ensuite, sous l’effet des anesthésiants, je perdis connaissance une nouvelle fois…

Allongé… Autour de moi, que du blanc… Non, beaucoup de fleurs aussi ! Avec un sourire, j’essayai déjà de me relever, mais la douleur était toujours présente… Je dus me résoudre à rester au lit, attendant que quelqu’un passe, jusqu’à ce que j’entende un gémissement de l’autre côté du drap. Tout sourire que je ne sois pas le seul à souffrir, je me mis à vagabonder dans mon esprit, jusqu’à me rendormir.

~ Quelques heures plus tard ~

Je me réveillai en sueur… Un cauchemar ! Je revoyais mon père, qui complotait avec Akatsuki pour renverser l’ancien Mizukage, puis celui-ci, exécutant mon père, et enfin être tué par Akatsuki… Ainsi mon rêve se terminait toujours… Que devais-je faire ? J’avais choisi de rendre à Kiri son passé sanglant, tout en décidant aussi, comme l’ancien Mizukage de détruire Akatsuki… Peut-être pourrais-je y arriver en attaquant de l’intérieur ? J’entendis mon voisin qui toussota, ne pouvant me lever, ni même bouger de quelques centimètres, je décidai de parler en pensant qu’il m’écouterait.

« Hey… ! Tu t’es blessé comment ? »

Ma voix avait sonné fort dans ma tête, non seulement cela faisait plusieurs jours que je ne l’avais pas entendu, mais en plus, je n’avais entendu que les gémissements et les toux de mon voisin de chambre. A vrai dire, je ne devais pas être mieux… ! Mon épaule avait remise, mais le mouvement était beaucoup plus douloureux, et surtout, je ne pouvais plus déplacer autant mon épaule. Mes côtes se remettaient grâce aux médicaments que l’infermière me donnait chaque jour et le trou qui était avant à mon poumon droit avait été refermé par les soins des docteurs dans la salle opératoire… Combien de temps avaient-ils passé sur moi ? Et Sanbi ? Était-il toujours en moi ?

« San … Sanbi ? Tu m’entends !

Ne crie pas, jeune humain. Tu vas me donner des maux de tête !

Excuse-moi, Sanbi. J’ai eu peur qu’on ait essayé de te faire du mal…

Ne t’inquiète plus, je sais me défendre de toute façon. »

"Ma tête..."

Telle fut la première chose que Kyûji pensa lorsqu'il reprit connaissance. Un mal de crâne affreux lui dévorait les neurones, et la moindre pensée lui réclamait un effort considérable. Lentement, la douleur diminua, et arrivée à un certain point, il put se concentrer un minimum. Il se trouvait apparemment dans une grande salle éclairée, avec quelques rares personnes en uniforme d'infirmière qui passaient de temps à autre.

"L'hôpital ! Je suis dans l'hôpital de Kiri ! Je dois partir !

Inconsciemment, il tenta de se lever, et tout ce qui se passa fut qu'il poussa un grognement de douleur vain. Toussant, il abandonna sa tentative. Il entendit soudain une voix :

-Hey... Tu t'es blessé comment ?

La voix lui étais familière, mais il n'arrivait pas à l'identifier. Ne pouvant pas bouger, il utilisa ses byakugans l'espace d'un instant. Une larme coula de son oeil, et, affaibli, il s'arrêta rapidement. Il avait pu glaner quelques informations : Premièrement, s'il n'arrivait pas à bouger, c'était en raison des cordes qui le maintenaient sur le lit... Deuxièmement, l'homme à côté de lui était le Mizukage en personne ! Affolé, il essaya de nouveau de s'enfuir, mais ses liens étaient trop solides, et dans son état, il n'allait sûrement pas essayer de les défaire de quelque manière que ce soit. Déprimé, il se surprit même à répondre.

-En... vous combattant, me semble-t-il...

Un infirmière arriva, accompagnée d'un homme à l'air sévère. Ils semblaient discuter à propos d'un emprisonnement, de tortures, d'exécution, même...

"Mais... Ils parlent de moi !

La peur lui broyait les entrailles, et il fit une courte prière en pensant aux esprits de ses défunts parents...

L’homme à côté me répondit et je compris bien vite qu’il n’était autre que le Hyûga que j’avais combattu auparavant… Quand était-ce ? Deux heures ? Quatre ? Des jours peut-être ? J’étais déboussolé, mais ma panique fut très vite interrompue quand une infirmière et un médecin s’approchèrent de chez moi. Tous deux ne semblaient pas être là pour une visite de courtoisie et je me préparais déjà à subir reproches ou tout autre chose en rapport avec le combat que je venais d’avoir.

« Mizukage, vous êtes réveillé ! Cela tombe bien, nous devons vous parler du patient à côté de vous.

Le Hyûga, c’est cela ?

Oui, vous devez le soumettre à un examen...

Il n’en est pas question.

Mais pourquoi, s’il faut, je suis prêt à mettre ma responsabilité pour qu’on le torture et l’exécute après. Nous devons glaner des informations sur Konoha.

J’ai dit qu’il n’en était pas question. Avez-vous compris ?

Mais… Mais pourquoi, Maître Mizukage ?

Raisons personnelles vous suffisent-elles ?

Ou… Oui, Oui, bien sûr, Maître Mizukage.

Sortez tout de suite.

Mais nous devons vous administrer vos soins…

Ils attendront !

Oui, Mizukage. »

Au fond, avoir tant parler pour des explications futiles m’avait fait souffrir. Ma respiration était toujours sifflante, mon épaule me faisait souffrir, mais je pouvais au moins dire que j’étais vivant. Souriant malgré les circonstances qui ne s’y prêtaient guère, je tournai la tête vers le shinobi ennemi dans ces moments-ci.

« Tu sais… Je vais te libérer dès que je serai sur pied. Mais tu sais, je vais rester un bout de temps ici, donc si tu souhaites partir… Promets-moi une chose ! »

Je m’étais arrêté un instant tant mes poumons brûlaient.

« Dis à Kazeigan… Qu’il se trompe… Qu’il faut aller plus… Plus loin que les apparences… »

Je m’arrêtai. Je venais de trop forcer, en essayant de me relever et plusieurs de mes points de suture venaient de lâcher. Ma respiration redevenaient saccadée et je perdais du sang en abondance, comme lors du combat. Tous sourire, je tournai ma tête vers la porte avant de crier un coup :

« Gardes… !

Oui, Mizukage…

Oh non ! Vite des médecins et infirmières… !

Détachez le prisonnier… »

Et j’étais retombé évanoui, mais toujours souriant. Des médecins s’attelèrent à refaire les points de suture et à me soigner au plus vite. Les gardes me regardaient en proie à une panique folle. Devait-il libérer le Hyûga, comme le Mizukage l’avait déclaré ? Peut-être avait-il dit cela sous la folie ? Mais s’il avait dit vrai et qu’aucun d’eux ne le libérait, ils subiraient un châtiment à leur juste valeur. Que devaient-ils faire ? Moi, j’étais évanoui et tout ce que je souhaitais… C’était retrouver ma mère, car maintenant, je souffre trop ! La douleur me cloue dans un lit et je ne peux accomplir ses dernières paroles…

Asaki n'en croiyer pas c'est yeux il l'avait enfermer dans un cercueil "connart de Hokage à la con et à la merde" Asaki fit quelque mudras et pris le contrôle du cercueil et se l'ibéra. Il sauta par le fenêtre et arriva sur le sol il alla dans la forêt et il traversa la forêt sans aucun souci. Il arrive dans la forêt brumeuse et la traversa et senti la présence de Kazeigan qui l'avait suivi alors Asaki accéléra et arriva devant les portes du village toujours avec ses pantins il entra dans l'hopital et demandis la chambre du maître Mizukage. La dame qui étais à l'acceuil ne lui donna pas le numéro de la chambre. Alors il menassa la dame de la tué et elle lui donna le numéro de la chambre mais Asaki savait que le numéro étais faus alors il regarda lui même et trouva le bon numéro. Devant la chambre il y avait beaucoup de garde qui le laissa pas passer mais il les tua tous. Il entra dans la chambre et parla au maître Mizukage.

Maître Mizukage, Kazeigan l'hokage du village caché de la feuille à voulu me torturé et me tué. Il ma suivi il doit être dans l'hôpital à l"heure ou je vous parle et désoler pour vos garde j'ai étais obligé de les tué pour entré dans la chambre.

Le retour sanglant du Mizukage Abalam12

Naruto le plus puissant ninja de tous les temps et surtout l'Hokage le plus fort de Konoha

Le tombeau de pierre se rétracta . Imméditement, au regard d'asaki, Kazeian sut qu'il allait se réfugier chez le mizukage. Instantanément à la mention du mizukage, sa rage doubla. Et voyant le deserteur sauter par la fenêtre, il sut qu'Asaki croiyait bel et bien à la version de Kyuji dans l'hopital.

Alors, le hokage sauta par la fenêtre et se téléporta dans le ciel puis devant l'hopital. Il avait au minimum deux heures d'avance sur Asaki. Sur ce, il se dépoussiéra et prit un air chaleureux

-Madame l'infirmière ! Oui Bonjours, je viens rendre une visite amicale au mizukage, pouvez vous m'indiquer sa chambre s'il vous plais ?

-Chambre 814 c'est un plaisir honorable hokage.

-Merci beaucoup madame !

Kazeigan brulait d'impacience de revoir le mizukage en imaginant la tête qu'il ferait lorsqu'il le verrait . Alors que les gardes avaient fini de le fouiller, il ouvrit la porte. Là, il résta béat devant le spéctacle qui s'offrait à lui: Kyuji Hyuga, son bras droit qu'il croyait mort était assis sur un lit d'hopital les gardes auprès de lui venaient de le détacher. Il était dans un piètre état. sur le lit d'à coté, Yuki , encore plus misérable que Yuki, paralysé par la douleur parlait au Juunin fantome , le regard figé sur la fenêtre.

-Dis à Kazeigan… Qu’il se trompe… Qu’il faut aller plus… Plus loin que les apparences…

-Je suis là alors dis moi vite ton message car je vais m'énerver, et te tuer pour m'avoir abandonné et surtout pour pactiser avec l'ennemie !!!! Depuis que nous nous sommes combattus, je n'ai céssé d'y repensé et toute les preuves fusent sur toi ! Peut être que je ne serais pas cru au conseil des Kages mais rien ne m'empèche de te régler ton compte en tête à tête: ici il n'y a pas grand risque que tu me résiste !!!!

Le regard du mizukage s'éteignit. Sa tête retomba sur son oreiller. Il s'était évanouit.

-Bon c'est pas grave, on se passera d'explications.

Kazeigan sortit un kunai et s'appreta à regler le sort de son ennemie. Mais une mais l'arreta dans sa trajectoire . Kyuji se trouvait derrière son maitre byakugan activés (signes qu'ils avaient mit au point tout deux afin de dicerner les décisions importantes des broutilles habituelles) . Kazeigan lacha le kunai .

[Alors pour plus de précisions, ce post est situé temporellement juste après le fait que Kyuji soit délivré, Asaki , tu n'apparaitra que dans 5 posts pour l'instant tu es en route et ici c'est la scéance de mise à niveau entre misukage/hokage et bras droit]

Une voix s’était fait entendre avant que mes oreilles ne redeviennent sourdes, avant que ma vue ne s’éteignent, avant que mon cœur ralentisse peu à peu. Pourtant, j’avais gardé ce sourire niais que tant de monde détestait.

~ Quelques heures plus tard ~

Je me réveillais enfin… La lumière n’était ni éblouissante, ni trop faible, je pouvais discerner tout dans la pièce. Je tendis l’oreille pour vite découvrir que j’étais maintenant seul, mon voisin avait été libéré comme je l’avais demandé et maintenant, je pouvais entendre tout dans la pièce… Le silence ! Quel plaisir. Je me remémorais déjà les sons, les bruits qui avaient eu lieu juste avant que je retrouve le néant où j’avais tant espéré rejoindre ma mère. Cette voix… Elle me rappelait quelqu’un avec qui je devais parler.

Kazeigan… ! Oui, cette voix, c’était lui. Alors ? Cela ne pouvait signifier qu’une chose. Non, peut-être plus. Et qu’avait-il dit ? Sa voix avait résonné tellement fort que je n’arrivais pas à savoir, tout se répercutait toujours dans ma tête. Ne pas trop réfléchir… Sinon, j’allais attraper de nouveaux maux de tête.

Une brise légère se fit sentir dans la chambre, me faisant savoir que le temps allait bientôt se couvrir. Enfin, seul ! J’étais à Kiri et je pouvais être seul, cela était plutôt rare, pour moi, un Mizukage. Je prenais ce moment de solitude comme s’il ne s’arrêterait jamais, laissant l’air soufflé dans mes cheveux comme si c’était la première fois que je sortais…

°Flashback°

Un jeune enfant sortait de chez lui, heureux, le sourire aux lèvres, criant partout à en énerver plus d’un. Une femme courait derrière lui, un sourire aux lèvres, elle aussi. Le vent faisait flotter sa robe, l’enfant essayait de se battre contre celui-ci. Ils étaient heureux…

« Maman, maman… Y’a des messieurs comme papa qui arrivent ?

Madame… Pourrions-nous parler en privé ?

Bien… Bien sûr ! Yuki, restes dehors, maman revient.

Oui, maman ! »

Les hommes repartirent quelques minutes après être entré, mais la mère ne revint pas. L’enfant resta une partie de la nuit sous la lune, attendant sa maman. Puis, quand il commença à avoir vraiment froid, il rentra chez lui. Il découvrit sa mère en pleurs, les coudes sur les genoux, les mains devant les yeux, des gouttes qui ruisselaient le long de ses joues…

°Fin du Flashback°

J’étais moi-même en pleurs devant ce souvenir. C’était ce jour-là que je sortais pour la première fois, je n’avais que 2 ans… Très vite, je balayai ce mouvais souvenir. C’était ce jour-là que mon père était mort, en tentant de donner des informations à Akatsuki, tombé dans un traquenard de l’ancien Mizukage. Ma mère était partie maintenant, elle était partie le rejoindre sans connaître la vérité… Mais elle devait sûrement la savoir maintenant !

Quelqu’un entra dans ma chambre… Trop tard ! Pas le temps de faire semblant de dormir encore et de profiter du silence et de la paix qu’apportait cette pièce. Tout sourire, je vis apparaître l’Hokage, Kazeigan Gutari et son fidèle ami, Kyûji Hyûga, l’homme qui m’avait mis dans cet état, avant de me sauver en me transportant ici. Souriant, je déclarai :

« Que puis-je pour toi, Kazeigan ? Excuses-moi avant tout de te rencontrer dans des circonstances pareilles, mais vois-tu, j’ai rencontré quelqu’un d’assez fort pour me clouer au sol… Heureusement, mes blessures n'étaient pas incurables. Je me rétablirai donc assez vite ! »

Depuis que Kazeigan et Kyuji avaient été expulsés de la chambre de Yuki par l'infirmière au caractère d'ours enragé qui n'a pas mangé depuis cinq jours, le bras droit de l'hokage n'avait pas décroché un mot. Ce dernier devait surement être exténué par les récents évènement, mais n'avait pas eu le privilège de bénéficier de la chambre de repos car il avait été considéré comme une menace par l'infirmière.

Les heures passaient sans qu'un seul mot ne soit prononcé mais au bout de 2 heures et quart, la porte s'entrouvrit délicatement et l'infirmière passa la tête dans l'ouverture.

-[En chuchotant] Il s'est réveillé mais il est encore fragile alors faites attention, je vais vous laisser seuls mais je resterais dans le coin.

Les deux konoichis se levèrent et entrèrent dans la pièce. Yuki avait les yeux mis-clos un sourire moqueur sur les lèvres et des traces humides au coins de ses yeux et sur les bandages de son visage.

-[D'une voix adoucie par la fatigue] Que puis-je pour toi, Kazeigan ? Excuses-moi avant tout de te rencontrer dans des circonstances pareilles, mais vois-tu, j’ai rencontré quelqu’un d’assez fort pour me clouer au sol… Heureusement, mes blessures n'étaient pas incurables. Je me rétablirai donc assez vite !

L'Hokage savait qu'il était question de Kyuji, mais il n'avait pas le coeur à sourire: Son bras droit l'avait empéché de tuer l'homme qu'il detestait tant sans aucune raison apparente et sans lui donner d'explications supplémentaires .

-Bon je suppose que tu ne te souviens pas de ma question, alors je vais faire plus simple afin que même dans ton état, tu puisses comprendre: Que c'est y il passé ce matin pour que mon bras droit te sois reconnaissant de la vie alors que quelques instants plus tôt, je pensait que tu pactisais avec Akatsuki et que tu n'étais qu'un lache ?

Je continuai de sourire devant Kazeigan, mais celui-ci devait être teinté de lassitude à l’heure qu’il était. J’étais épuisé et Kazeigan avait décidé de m’assaillir de question jusqu’à ce qu’il n’est plus soif. Enfin, je savais que ce jour viendrait… Je soupirai un instant, avant de regarder un instant le jeune homme qui m’avait sauvé la vie, avant de me tourner de nouveau vers l’Hokage.

« A vrai, cette question… Je me la pose à moi aussi. Je ne comprends pas pourquoi ton homme a décidé de me sauver. De ce que j’ai pu comprendre des dires du Déserteur de Kiri puis homme de main, Asaki Millénium, tu auras des soupçons sur moi et Akatsuki. Et comme tu viens de le dire, tu as de lourds soupçons… Je me dois donc des explications à ton égard, et peut-être à ton bras droit. »

Je me levai de mon lit, ou plutôt, je me redressai, grimaçant, mais vigilant cette fois-ci à ce que les points de suture restent bien en place. Souriant, je déposai mon regard sur l’Hokage.

« En effet, tes soupçons sont bien réels… Mais avant que tu ne me coupes, laisses-moi t’expliquer ! »

Je pris une longue respiration avant de débuter mon récit, car je savais que cela allait durer plusieurs minutes.

« A vrai dire, je suis allié d’Akatsuki depuis peu et personne dans mon entourage, ni même dans le village ne le sait. Seul toi as eu des soupçons… Et tu avais raison. Mais tu ne connais que la surface et tu ne sais donc pas quelle raison ne m’anime. Mon père travaillait pour Akatsuki et vendait des informations à ceux-ci, espérant ainsi devenir Mizukage et faire du village ce qu’il était auparavant, le village caché de la Brume sanglante. Mais le Mizukage en poste découvrit sa forfaiture et décida de lui tenir une embuscade qui fonctionna à merveille. »

Je m’arrêtai un instant, vérifiant que mes sutures tenaient bien. Je me rallongeais, tant je transpirais sous l’effort.

« Tout cela, je le découvris par hasard dans les archives. Malheureusement, ma mère était déjà partie avant que je ne puisse lui donner la nouvelle. Le Mizukage fut tué quelques mois plus tard par Akatsuki-même, de ce que mon enquête a révélé du moins. Ensuite un Kage lui succéda auquel je succédai… Enfin ! J’ai décidé au début de mon alliance avec Akatsuki de combiner les rêves des deux hommes : Faire revivre le passé pour mon père ; détruire Akatsuki pour l’ancien Mizukage. »

Je m’arrêtai plusieurs minutes, non seulement pour que mes interlocuteurs puissent assimiler tout ce que leur disais, mais aussi pour reprendre de l’air et calmer mon poux qui s’était accéléré si soudainement.

« Mais plus le temps passait, plus je remarquais que les habitants de Kiri aimaient cette sérénité que le Mizukage leur avait apporté… C’est alors que, malgré l’alliance déjà dite, j’ai changé mes objectifs. Etant un membre de l’Akatsuki, je pouvais facilement savoir tout d’eux et c’est donc ce que j’ai commencé à faire. Comme vous vous en doutez maintenant, j’ai choisi de détruire Akatsuki, mais pas comme nos prédécesseurs, mais en détruisant ceux-ci de l’intérieur. »

Je m’arrêtai enfin dans mon récit, non seulement, mon cœur pompait énormément, mais ma respiration était devenue saccadée, si je continuais à forcer, je risquais de nouveau de m’évanouir. Je décidai donc de me recoucher dans le lit, laissant ainsi les brises aller et partir de ma chambre, permettant une circulation d’air incessante.

« Tu peux me croire, comme ne pas me croire Kazeigan… Et je peux comprendre que tu n’y croies pas, puisque lors de notre dernière rencontre, je t’ai lâchement abandonné. Mais saches que ce jour-là, je ne prévoyais pas encore de m’allier avec cette bande de malfrats. Je sais aussi que je ne te ferai pas changer d’avis ainsi… Mais demandes-toi alors pourquoi j’ai sauvé un homme qui plus tard, serait contre moi, si je faisais bel et bien partie des hommes que tu cites. Cela ne m’aurait pas aidé de le sauver ! »

Je m’arrêtai enfin de parler et de prendre ma propre défense. J’essayai enfin de sourire, mais je dû y renoncer tant mes côtes me lançaient. Mon cœur allait exploser et mes poumons brûlaient, pourtant, j’étais prêt à subir le lourd poids du regard de mon bourreau… S’il le décidait, il pouvait me tuer en quelques secondes, mais oserait-il tuer un homme affaibli ? Un homme qui garderait sûrement des séquelles de ce lourd combat dans lequel il n’avait fait que raisonner un homme devenu fou l’espace d’un combat. J’étais convaincu que ce Kage, malgré son plus jeune âge que moi, prendrait la décision qu’il fallait, celle qui permettrait aux Villages de redorer le blason du monde shinobi. Celle qui donnerait peut-être une chance qu’Akatsuki soit détruit pour toujours !

[HJ : Pas mal, hein ? Sérieux, pour l'instant, j'aime ce que j'écris Smile

]

Les déclarations que venait de lui faire le mizukage étaient toublantes: Elles pouvaient changer du tout au tout le destin de konoha. 4 Possibilité apparaissaient alors:

-Si Kazeigan coyait Yuki et que ce dernier disait la vérité, afin de preserver la sécurité du mizukage et de son village face à l'akatsuki, leurs rapports devraient être les même que jusqu'à lors: froids et distant. Afin d'éviter que cela s'ébruite, Kyuji serait surement nommé comme émmissaire secret entre les deux villages car il était un shinobi qui "techniquement" n'existait pas et qui était au courrant de la situation. A la limite, un code secret pourrait être mit au point. Mais Konoha serait en sécurité.

-Si Kazeigan croyait Yuki mais que ce dernier mentait, konoha risquait très fortement de se faire attaquer dans les jours qui suivraient , alors que le village serait endormis sur des acquis. Cette possibilité menerait probablement konoha à sa destruction tandis que Yuki serait calmement chez lui en sécurité dans son village qui ne serait soupçonné de rien .

-Si Kazeigan ne croyait pas le Myzukage alors qu'il venait juste de lui confesser le plus noir de ses secrets, Yuki risquerait d'avoir la haine envers son confrêre et de tout faire afin de lui faire payer ce terrible manque de confiance. Une guerre entre les deux villages pourrait très bien survenir et au final le mizukage pourrait changer d'avis et adérer totalement à l'akatsuki. Alors, ce serait la fin de Konoha

-Si Kazeigan ne croyait pas le mizukage et qu'il avait vu juste, la situation resterait la même qu'actuellement : Le mizukage serait un lache, fourbe et prèt à mentir en toutes circonstence. Kazeigan continuerait de vivre dans la peur d'une prochaine attaque et Konoha serait conduit à une mort certaine.

De ces 4 possibilitées, Kazeigan était maitre que d'un facteur: soit il croyait le mizukage, soit il ne le croyait pas. Dans ce dernier cas, la meilleure possibilité serait que la situation actuelle ne stagne et dans le pire des cas, Konoha serait rapidement mené à sa fin. Si Kazeigan croyait son confrère, les possibilités semblait plus heureuses: soit Konoha vivrait de longues et heureuses années de paix soit il se ferait attaquer.

-Yuki Yasuo, je dois te dire que le fait que tu te sois confessé à moi me touche profondément, et j'ai décidé de te croire. Nous devrons garder les mêmes rapports conflictuels qu'au paravent, nos conversation au sujet des projets de l'akatsuki ne devront se faire que par l'intermédiaire de mon bras droit qui est déja au courrant de la situation et qui de plus est habitué dès tout petit à se cacher pour survivre. Ah oui! j'allais oublier, Kyuji, sautes par la fenêtre, Asaki est sur le point d'arriver, il entre selon mes estimations à présent dans l'hopital, moi aussi j'y vais et je réapparaitrais derrière lui comme si on ne s'était pas encore parlé: Trop de monde est déja au courrant de la situation. Et de ce que j'ai vu, asaki ne tient pas bien sa langue. Bon, sur ce , à plus cher confrère !

Kazeigan et Kyuji sautèrent par la fenêtre laissant Yuki seul face au nouveau venu . Kazeigan fit un aller-retour rapide vers konoha afin de déposer Kyuji chez lui, trop fatigué pour poursuivre l'aventure avec son sensei. Puis il se mit à monter les marches de l'hopital étrangement jonchées de cadavres.

[Alors là c'est soit asaki le posteur soit Yuki car on peu considérer qu'asaki a déja fait son rp moi j'apparaitrais à la fin du post suivant. Asaki, en aucun cas, pour l'instant tu es au courrant de notre discution ! Alors tu es encore faché contre moi et moi je ferrais comme si je voulais te tuer]

Asaki étais fatiguer d'aller aussi vite il étais à bout de souffle il trouva une petite clairière évitant de se faire répérer il alla près d'un arbre pour se reposer en toute tranquillité Après s'être reposer pendant quelque instant Asaki reprit sa route et arriva devant les portes du village et après devant l'hopital.

Asaki arriva dans l'Hopital et trouva la chambre du Mizukage car il y avait pas mal de garde. Il voulait entrer mais les gardes ne le laissa pas entre alors il fit quelque signe incantatoire et dit entre les dent.

Rairuu no Tatsumaki:(tornade du dragon ou encore prison du dragon)

Une énorme tornade ballaiya tous sur son passege et laissa la voie libre pour Asaki. il entra et parla au maître Mizukage qui étais très affaiblie.

"Maître kazeigan à voulu me tué parce que j'ai trahi le village". Mais au même moment il senti la présence de l'Hokage et fit quelque signe incantatoire et cria.

Raijin no Ken (épée du Dieu de la foudre)

Une épée aussi dur que le diamant se forma au niveau du cou de Kazeigan au moindre mouvement Asaki pouvait trancher la tête de l'Hokage

Si tu fais un pas de plus je te tranche la tête éspèce de menteur.

[j'ai perdu 220 Pc de chakra pour les deux techniques]

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J’étais heureux que l’Hokage m’ait cru, alors qu’il aurait tout aussi bien pu ne pas me croire. Sourire aux lèvres, j’écoutai ses dernières paroles qui m’apprirent que mon élève, Asaki Millénium arrivait bientôt, après s’être enfui de Konoha. Je vis les deux hommes disparaître par la fenêtre, avant que quelques secondes plus tard, apparaisse mon disciple, exténué. A travers l’ouverture de la porte, je vis mes gardes qui étaient tombés devant les coups de mon disciple.

Il avait dit plusieurs choses avant d’utiliser une autre technique qui était destiné à l’arrivée de Kazeigan. En effet, l’épée se trouvait sur la gorge de celui-ci, qui évitait soigneusement de bouger pour éviter de se blesser mortellement. J’avais repris ce sourire qui déplaisait tant aux gens, avant de féliciter mon disciple.

« Je dois dire que tu m’épates, Asaki. Tuer mes hommes et avoir le temps de bloquer tout justu d’un Kage… Ceci est plutôt rare pour quelqu’un de ton niveau…. »

J’exécutai une série de mudras, avant de me déplacer avec une vitesse qui dépassait l’entendement. Aussitôt, je me retrouvai dans le dos de mon disciple, une épée de vent, Kaze no Yaiba, une technique de ninjutsu fuuton, à la main posée sur la nuque du jeune Millénium.

« Mais tu m’as oublié ! »

Je crachais plusieurs gouttes de sang. Évidemment, je ne pourrais tenir que quelques minutes tout au plus avant de rechuter et de m’affaler une nouvelle fois au sol. Souriant, des traces de sang sur le menton, je n’étais pas l’homme de la situation, ou plutôt, je n’étais pas celui qu’on attendait dans pareil moment.

« Ne t’avais-je pas dis de rester discret… ? »

Souriant de plus belle, je crachais de nouveau du sang.

« Tu tues mes gardes personnels et en plus tu menaces un Kage, tu sais les mesures que je peux prendre pour ces raisons, Asaki ? Tu en as déjà fait les frais par le passé avec l'ancien Mizukage. »

De nouveau, je perdais du sang et mon cœur me demandait de plus en plus d’air, tout comme mes poumons.

« Ne commets pas une nouvelle erreur, Asaki. »

Je regardai un instant Kazeigan, gorge relevé vers le toit, une épée sous le menton, avant de sourire à celui-ci.

« Tu me parais quelque peu surpris, Kazeigan… Oui, je suis debout. Après tout un Démon m’habite et mes blessures guérissent plus vite que la normale. Je suis toujours affaibli, mais après tout, je peux tenir debout. Tu devrais savoir depuis tout ce temps que je garde toujours en réserve du chakra. »

Je reportai de nouveau mon regard sur le dos d’Asaki.

« Asaki, avant que tu ne fasses quoi que ce soit, penses aux conséquences de tes actes. Relâche ton chakra avant de commettre cet acte, tu le regretterais quelques secondes après… »

Face à cette technique Raiton, le Fuuton que j’utilisais avait tous les avantages sur sa technique. S’il se retournait ou s’il essayait quoi que ce soit, il serait réduit en miettes par ma technique, s’il voulait la mort, ce serait celle-ci qu’il aurait, mais je ne le connaissais que trop bien et je savais qu’il s’arrêterait dans cette folie.

Je crachai de nouveau du sang, faisant apparaître une flaque à mes pieds. Mon habit blanc de patient était lui aussi tâché de sang, et pourtant, je gardais le sourire, une main près du cœur tout de même. Plus que quelques minutes et je devrais m’asseoir, sinon, je finirais encore par m’évanouir….

« Quoique tu décides, Asaki Millénium, ancien Déserteur de Kiri et shinobi au nom de Konoha, tu es considéré comme un homme mort par toute la population, tu ne vis plus, tu n'es plus sur aucune liste de shinobi... Tu n'es plus rien aux yeux du monde. Ce que tu entendras ici et maintenant devra rester sceller au fond de toi, tu défendras ses secrets avec la dernière des énergies s'il le faut. Asaki Millénium, tu deviens, tout comme ton ami, Kyûji Hyûga pour Hokage Gutari Kazeigan, homme aux Sharingans, affecté à ma garde personnelle, tu seras l'homme qui transmettra mes messages à Hokage Kazeigan. Ton ami aura la même affectation, mais maintenant, et avec l'accord de Kazeigan, tu passes sous mes ordres... ! »

Quelle surprise ! Yuki yasuo était en état de se lever, de se déplacer plus rapidement que quiconque ne l'aurait jamais imaginé. De plus il était suffisament rétablis pour effectuer un jutsu de haut niveau. Yuki adressa à son nouvel allié un sourire moqueur l'air de dire "et ben quoi tu doutes de mes comptences ?!" Asaki relacha son épée de chacra et se tourna vers son ancien sensei.

-Quoique tu décides, Asaki Millénium, ancien Déserteur de Kiri et shinobi au nom de Konoha, tu es considéré comme un homme mort par toute la population, tu ne vis plus, tu n'es plus sur aucune liste de shinobi... Tu n'es plus rien aux yeux du monde. Ce que tu entendras ici et maintenant devra rester sceller au fond de toi, tu défendras ses secrets avec la dernière des énergies s'il le faut. Asaki Millénium, tu deviens, tout comme ton ami, Kyûji Hyûga pour Hokage Gutari Kazeigan, homme aux Sharingans, affecté à ma garde personnelle, tu seras l'homme qui transmettra mes messages à Hokage Kazeigan. Ton ami aura la même affectation, mais maintenant, et avec l'accord de Kazeigan, tu passes sous mes ordres... !

-Il est vrai qu'afin de moins éveiller les soupçons de tes "connaissances" , Yuki, il faut mieux deux messagers qu'un seul. Mais depuis le début, Asaki est celui qui t'as révélé mes soupçon, celui qui nous a tout les deux trahit, celui qui t'a révélé contrairement à sa promesse, l'identité de Kyuji. Mais bon ... Si cette affaire s'ébruite, ce n'est pas moi qui sera le plus à plaindre alors, je te laisse prendre les décisions les plus sures pour toi . Asaki, quand à toi, si tu refuses l'ofrfre du mizukage, saches que je t'en propose une autre: La peine de mort. On ne peut en effet pas laisser en vie quelqu'un au courrant d'un tel secret sans qu'il n'en fasse partie à part entière. En revanche si tu accepte, saches quand même que ta vie sera dès à présent comme celle de mon bras droit: Tu n'auras plus de famille, plus d'identité, tu seras seulement le messager fantome du mizukage. Ta vie n'aura d'importance que de le servir. A part cela, tu n'existeras plus. Tu ne devras en aucun cas entretenir des liens avec les shinobis que tu croiseras. Officiellement la version sera que tu as essayé vainement de me tuer et je me suis vengé. Tu es mort quoi qu'il arrive aux yeux de la communauté . Maintenant la question est veux tu que ce soit vrai ou pas ?

Asaki entendu les deux "discours" des deux kages tout en relachant mon épée car si je le tuer Yuki me tuerai sans hésitation.

-Quoique tu décides, Asaki Millénium, ancien Déserteur de Kiri et shinobi au nom de Konoha, tu es considéré comme un homme mort par toute la population, tu ne vis plus, tu n'es plus sur aucune liste de shinobi... Tu n'es plus rien aux yeux du monde. Ce que tu entendras ici et maintenant devra rester sceller au fond de toi, tu défendras ses secrets avec la dernière des énergies s'il le faut. Asaki Millénium, tu deviens, tout comme ton ami, Kyûji Hyûga pour Hokage Gutari Kazeigan, homme aux Sharingans, affecté à ma garde personnelle, tu seras l'homme qui transmettra mes messages à Hokage Kazeigan. Ton ami aura la même affectation, mais maintenant, et avec l'accord de Kazeigan, tu passes sous mes ordres... !

-Il est vrai qu'afin de moins éveiller les soupçons de tes "connaissances" , Yuki, il faut mieux deux messagers qu'un seul. Mais depuis le début, Asaki est celui qui t'as révélé mes soupçon, celui qui nous a tout les deux trahit, celui qui t'a révélé contrairement à sa promesse, l'identité de Kyuji. Mais bon ... Si cette affaire s'ébruite, ce n'est pas moi qui sera le plus à plaindre alors, je te laisse prendre les décisions les plus sures pour toi . Asaki, quand à toi, si tu refuses l'ofrfre du mizukage, saches que je t'en propose une autre: La peine de mort. On ne peut en effet pas laisser en vie quelqu'un au courrant d'un tel secret sans qu'il n'en fasse partie à part entière. En revanche si tu accepte, saches quand même que ta vie sera dès à présent comme celle de mon bras droit: Tu n'auras plus de famille, plus d'identité, tu seras seulement le messager fantome du mizukage. Ta vie n'aura d'importance que de le servir. A part cela, tu n'existeras plus. Tu ne devras en aucun cas entretenir des liens avec les shinobis que tu croiseras. Officiellement la version sera que tu as essayé vainement de me tuer et je me suis vengé. Tu es mort quoi qu'il arrive aux yeux de la communauté . Maintenant la question est veux tu que ce soit vrai ou pas ?

j'accepte votre proposition maître Mizukage.

Asaki ressenti une émotion très forte comme si on lui proposer de rejoindre un village redoutable et puissant mais, cette fois on lui offrer une chance de le racheter et et il éprouva une très grande émotion.

Le retour sanglant du Mizukage Abalam12

Naruto le plus puissant ninja de tous les temps et surtout l'Hokage le plus fort de Konoha

Tout comme le pensait le Kage sans village, Asaki accepta immédiatement la requete du renard tranquille, il devait surement être soulagé de ne pas avoir à affronter l'Hokage afin de survivre mais il ne savait pas dans quelle aventure il se lançait.

-Bon sur ce, Asaki échanges tes vetements avec ce garde, il semble avoir la même taille que toi . Moi, je positionne les gardes de façon à ce que l'on croit qu'ils se soient battus.

Asaki et Kazeigan s'éxécutèrent tandis que le mizukage, fatigué de son éffort retourna s'allonger avec peine. Kazeigan se retourna enfin vers l'ex deserteur:

-Bon bah, voilà qui est fait, c'est officialisé, Asaki Millénium est mort aujourd'hui en voulant entrer de force dans la chambe du mizukage -pour une raison obscure que nous ne connaitrons jamais- Et les gardes l'ont tué mais dans sa mort, il eut le temps d'accomplir un dernier exploit : Il déchira l'atmosphère d'un terrible tir Katon rendu surpuissant par le dernier espoir.

-Mais il n'y a pas de traces de déflagra...

Kazeigan s'était déja placé au dessu du garde avec lequel le messager avait echangé ses vetement et tira soudain le tir Katon dont il avait parlé en prenant soin d'englobber chaque corp y comprit celui sur lequel il était.

-Tu disais, Asaki ?

-Non rien ...

-Et pour finir, le pauvre garçon s'est fait devorer par ses propres flammes. Quel dommage, à cause de cela, on ne voit même plus son visage ! Seulement ses vètement et son bandeau. Bon sur ce, Yuki , reposes toi bien, les journées à venir ne vont pas te ménager et ce serait bête que je perde un allié aussi vite ! De mon coté, je vais déja commencer mes recherches .

A peine sa phrase achevée, Kazeigan partit comme une ombre en passant par la fenêtre restée ouverte depuis le départ de Kyuji.

Kazeigan n'utilisa pas son mangenkyo afin de revenir à Konoha pour trois raisons assez simple: le lieux où il comptait aller se trouvait tellement proche que le mangenkyo n'aurait servit à rien, ces dernier temps, avec les récents évenements, il avait un peu forcé sur son oeuil droit et commençait à mal disserner les contours d'une plume ou d'un colibris, chose qu'il faisait aisaiment auparavant et dernièrement, une petite promenade lui ferait le plus grand bien !

[Fin du rp pour Kazeigan.

Konoha et Kiri sont dorénavent en alliance contre l'akatsuki

Kazeigan n'a plus aucune raison d'en vouloir à asaki et à yuki mais doit encore faire comme si le mizukage et lui était encore en conflit.

Kazeigan sait désormais que Yuki a un démon mais ignore lequel

Kazeigan commence à ressentir les effets nefastes du mangenkyo shraringan

Vous pouvez tout à fait continuer à Rp sans moi mais sachez que je serais dans le coin pour ma prochaine mission d'information. ]

» Fiche du Mizukage [ en cours ... ]